« Je fais ce que je veux chez qui je veux » With Aidhàn K. Avery

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Les journées se suivaient et étaient les copies conformes des précédant. Liam n'en pouvait plus, il s'ennuyait. En Irlande il sortait tout le temps, avait beaucoup d'amis. Ici, c'était le calme plat. Bien sur il y avait Kevin son collègue, mais à vrai dire il ne le supportait pas tellement, et voulait surtout lui piquer sa copine. Jouer avec le feu, il adorait sa. Aussi il restait chez lui à s'ennuyer les weekend. Jusqu'au week end où il rencontre Aidhàn. Aidhàn, le prototype type du genre de mec que Liam ne supportait pas. Pour dire vrai, le jeune homme lui rappelait de mauvais souvenirs de son passé. Surement une raison de son ressentit. Liam avait parlé avec lui, avait tout de même tenté de le ramener dans son lit, et avait finit par capituler. Aidhàn était un abruti bien trop sage, trop hétéro, trop différent. Mais c'était amusant. Essayer de dévergonder ce brun, de le rebeller, de le faire criser surtout. Lui envoyer des pics, le rabaisser, et s'amuser à le faire tourner en bourrique, quel jeu amusant. Liam adorait sa.
Aussi, cet après midi là, il décida d'aller chez son "ami" au lieu de glander devant la télé. Un tour en moto et c'était fait, il arrivait dans la villa de son souffre douleur. Sa villa? Pas tellement, Aidhàn vivait avec un autre homme. "Et après ça se dit hétéro..." Il soupira et sonna, priant pour que l'autre soit absent. Il avait envie de s'amuser, de boire, pas de se battre avec le jouet sexuel de sa copine.

Il était au courant depuis peu que Julian se tapait Ancha. Ancha, la suer copine d'Aidhàn. Une autre raison qui le poussait à traîner avec le brun. Il voulait le surveiller, lui faire comprendre que malgré tout les problèmes qu'ils avaient, Ana était à lui, et seulement lui.
Il se mit donc à attendre devant la porte, appuyant comme un malade sur la sonnette. Si Aidhàn dormait, il était sur de le réveiller. Il ne pouvait avoir entendu les sons furibonds de la petite machine. Liam ne supportait pas le bruit qu'elle faisait, qui s'entendait à 3 kilomètres aux alentour, aussi il avait un jour pris la sienne, l'avait arraché et offert à un de ses élèves toujours en retard et habituer à frapper à la porte de la salle pour pouvoir entrer. Avec sa, avait-il dit, tu ne te bousillera pas les mains sur la porte. Il avait ensuite obliger l’élève à garder le morceau de métal déchiqueté toute la journée en main.

Lorsqu'il entendit des pas derrière la porte, il arrêta. Il se retrouva nez à nez avec Aidhan, visiblement énervé. il lui sourit en entrant sans attendre de permission.

-Salut mon pote, j’espère que t'as de quoi boire, mon frigo est vide.

Liam & Aidhàn

Aujourd’hui était mon jour de repos. Je lézardais tranquillement sur le canapé en compagnie d’une fille que j’avais ramené à la villa la veille. Je l’avais rencontré durant une soirée et on s’était bien chauffé je dois l’avouer. Elle me plaisait, elle était plutôt pas mal alors pourquoi se prendre la tête ? Ni une ni deux nous étions rentré et avions batifolé toute la nuit jusqu’au matin. A notre levé je lui avais proposé de rester histoire de profiter de ma journée. Julian n’était pas là, j’avais la villa pour moi autant m’amuser avec cette fille dans toutes les pièces que je voulais. Une chose était sûre nous ne serions pas dérangé. Alors que le film que nous regardions venait de finir, je la pris dans mes bras telle une princesse et l’emmena direction mon lit pour m’amuser encore un peu avec son corps.

Alors que tout se passait pour le mieux, tout à coup la sonnette de la maison retenti. Ne voulant pas me déranger pour un inconnu je continuai sans me préoccuper de quoique ce soit. Mais c’est alors que la sonnette retenti sans interruption dans la maison. Cela en devait insupportable. Je dû me rhabiller et me dirigea vers la porte d’entrée. Lorsque je l’ouvris je tombai sur Liam. Que pouvait-il bien faire, là me demandai-je.

Il entra sans même que je l’invite. « Ne te gêne surtout pas » dis-je d’un ton un peu agressif. « Tu n’as pas l’impression de déranger là ? J’étais occupé, repasse plus tard ! » Lui dis-je d’un ton sec et énervé.